Hola a todos,
Ce mois-ci, on replonge dans des anecdotes de vie à Madrid avec la troisième partie de cette série d’articles que vous avez l’air d’apprécier. Vie personnelle et vie professionnelle se mélangent dans ces anecdotes qui encore une fois, ne sont pas rangées dans l’ordre chronologique.
Les photos qui illustrent cet article ont été réalisées en collaboration avec @caye.films à retrouver sur instagram
L’escalier de Ratatouille
Si vous avez suivi les parties précédentes de mes anecdotes spécial Madrid, vous savez que j’ai une relation particulière avec les nuisibles. Toujours est-il que récemment, j’ai découvert une grosse souris en train de chiller dans ma cage d’escalier. En la postant sur instagram plusieurs d’entre vous m’avez affirmée qu’il s’agissait certainement d’une souris de compagnie. Sauf que quelques jours plus tard en sortant la poubelle… je lui ai découvert un petit compagnon. Celui-ci pour le coup ne donnait aucun doute… mais depuis, plus de nouvelles !
Je suis passée à la télé espagnole
Suite au confinement, j’ai passé plusieurs castings d’émissions espagnoles, comme si toutes les chaines s’étaient passées le mot. Au final, je n’ai pas été prise pour un jeu de culture générale (heureusement ?) mais pour être « public VIP » d’une émission très célèbre : Got Talent (Incroyable Talent). En gros, j’étais filmée en train de réagir à absolument tout ce qu’il se passait sur le plateau pendant une bonne heure. Je peux vous dire que l’expérience a été mega intéressante mais si c’était à refaire… je n’irais pas.
(vous pouvez retrouver toutes mes apparitions médias ici)
L’offre avortée
Vous connaissez également mes déboires dans la vie professionnelle. Et bien sachez que moi qui pensais être déjà bien rodée dans le chaos du marché du travail espagnol, j’ai vécu encore pire. Suite à la fin d’un contrat, j’avais cherché un nouvel emploi avec suffisamment de rapidité pour décrocher très vite plusieurs entretiens et signé une offre de travail qui me semblait très motivante. En attendant le début de ce contrat, j’avais bien évidemment arrêté les recherches pour profiter de mes « vacances » avant la reprise. Et puis finalement, une semaine avant la date de début du contrat… on m’a tout simplement annulé l’offre. J’ai tout essayé pour les raisonner et leur répéter ma motivation, mais la seule chose à laquelle j’ai eu droit a été un message whatsapp « Marine, la décision a déjà été prise ». Je ne balancerai pas le nom ici mais sachez que cette grosse boite ne traite pas bien les personnes.
L’abonnée invasive
En étant sur internet depuis 5 ans, j’ai bien évidemment de plus en plus d’anecdotes à raconter concernant les échanges que je peux avoir avec mes lecteurs. Je reçois bien sûr beaucoup d’amour au quotidien (cœur sur vous) mais également des messages de gens qui se croient tout permis sous prétexte qu’ils me « connaissent » (à sens unique, je vous le rappelle). Récemment, je me suis inscrite en ligne sur le site du consulat pour pouvoir voter aux élections. Le même jour, sans en avoir parlé sur mes réseaux, je poste une story comme quoi j’ai beaucoup de choses à faire pour mon blog. Une follower m’a répondu en toute détente « tu as aussi ton justificatif de domicile à faire pour *le nom de ma rue* ». A peine traumatisant… Vous croyez que j’ai reçu des excuses après m’en être plaint ?
Le non-anniversaire
Il y a quelques mois je suis allée dans un restaurant que j’aime beaucoup en ce moment avec des amis plutôt coquins (j’avais envie d’utiliser ce mot). Au moment du dessert, je ne suis donc pas surprise de voir tous les serveurs débarquer à notre table avec un gâteau et des bougies dessus et commence à chanter cumpleaños feliz avec eux à tue-tête, en me demandant quel sera l’heureux élu de la blague… jusqu’à ce qu’on pose le gâteau devant moi ! Bien évidemment j’ai trouvé ça très drôle, mais beaucoup moins quand j’ai de nouveau réservé dans ce restaurant pour le vrai jour J en me disant qu’on allait se faire cramer. Au final, la petite chorégraphie du dessert s’est répétée sans encombres. Vive les anniversaires !
La vraie expérience des pimientos del padrón
Cette anecdote m’est arrivée la veille du bouclage de cet article… si fou. Dans un précédent article, je vous ai expliqué que les pimientos del padrón étaient à l’origine truffés de vrais piments, sauf qu’en 8 ans d’expérience à Madrid, je n’en avais jamais vu la couleur. Tout cela jusqu’à voir les yeux de mon amoureux se remplir de larmes après avoir croqué dans un « poivron » en plein dîner. J’ai trouvé ça très drôle… jusqu’à ce que je tombe moi aussi sur un piège. Résultat des courses : Thomas a mangé 4 poivrons piquants et moi 2… Tout cela dans une assiette, j’en reviens toujours pas !
Le train à (trop) grande vitesse
Ceux qui suivent le blog de près savent que j’ai passé une partie de ma vie étudiante à Madrid. Et quand on est étudiants… on fait quelques bêtises. Il y a donc quelques années, j’ai pris un train en direction de Barcelone après avoir mangé un space cookie (ai-je besoin d’expliquer ce que c’est ?). Si les premières minutes du trajet ont été impeccables grâce au dessin animé diffusé dans le wagon… les dernières heures ont été un cauchemar. Je ressentais tous les mouvements du train qui allait vraiment, mais alors vraiment vite. Je me rappelle m’être dit à ce moment-là « au pire je demande au chauffeur de ralentir ». Bref… la jeunesse.
Et voilà pour cette troisième partie de mes anecdotes à Madrid. Dites-moi en commentaires si ça vous plairait que je partage des anecdotes spéciale influence/histoires avec les abonnés parce que je ne vous en ai mis qu’une ici… mais il y a de quoi faire, clairement ! Et pour votre dose quotidienne de vida de Marine, rendez-vous sur les réseaux sociaux !
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